Saint Charbel Makhlouf : le plus grand thaumaturge de toute l'histoire

25/01/2025

Charbel Makhlouf (1828-1898) Les interventions, apparitions et intercessions du Saint sont comparables à celles de Jésus dans les Évangiles : 29349 miracles documentés au 3 mai 2023 par le Père Luis Matar, archiviste de l'Ordre Libanais Maronite. Le plus grand miracle, depuis 125 ans, est son corps intact, avec souplesse des membres et sudation continue d'une "huile rosâtre" qui guérit à son contact. Le cadavre se met même à saigner lorsqu'on pratique une entaille dans la peau. Les guérisons se produisent bien au-delà du Liban, sur tous les continents, au sein de diverses cultures, toutes religions confondues (chrétiens, musulmans, bouddhistes, hindous, juifs, druzes, alaouites, athées, etc.) et convertissent définitivement leurs bénéficiaires. Ainsi en a-t-il été du ministre des finances libanais Emile Lahloud en 1950, musulman devenu chrétien. De sorte que. Saint Charbel sera le premier maronite canonisé par l'Église catholique, universellement aimé en Orient comme en Occident depuis plus d'un siècle.

1850 : une nuit, Charbel demande à un serviteur de mettre de l'huile dans sa lampe. Par inadvertance, ce dernier y verse de l'eau. Mais la lampe s'allume quand même et la flamme brille toute la nuit. 1875 : Charbet, appelé au chevet d'un enfant mourant, atteint de fièvre thyphoïde, lui passe un mouchoir mouillé sur le front, et l'enfant s'éveille soudain : "Père Charbel !", lequel répond "Glorifiez Dieu, le malade est guéri! Donnez-lui à manger !" L'enfant vivra jusqu'à 85 ans et, devenu médecin, soignera plusieurs fois le futur Saint. D'autres prodiges sont d'allure biblique : des sauterelles envahissent la région du monastère à plusieurs reprises, mais des preuves topographiques montrent que les champs bénis par Charbel restent intacts, au milieu d'un paysage entièrement dévasté au alentours. Un jour, un certain Maroun Abi Ramia se rend à l'ermitage d'Annaya afin de demander la prière du père Charbel et de l'eau bénite pour son fils gravement malade. Les médecins lui avaient annoncé qu'il n'y avait plus d'espoir de guérison . Après avoir vu l'ermite, Maroun prend le chemin du retour pressé et inquiet. Le voyant si affligé, le père Charbel saisi de pitié dit à son compagnon : "Appelle-le et dis-lui d'aller lentement, car son fils est bien portant !" Lorsque l'homme arriva chez lui, il trouva son fils guéri. 1898 : décédé le 24 décembre, les funérailles de Charbel se déroulent le jour de Noël. Dans le ciel, une lumière très brillante éclaire la façade du monastère mieux qu'en plein jour, au-dessus de la tombe, selon de très nombreux villageois et soldats, y compris chiites. 

1993, Noad El Shami (miracle authentifié par la médecine) : victime d'AVC qui la paralyse sur tout le coté gauche du corps (carotides bouchées), Saint Charbel lui apparaît le 22 décembre à 2h du matin, son visage méconnaissable dans une grande lumière. Il lui dit "N'aie crainte, je suis venu t'opérer", et Noad découvre à son réveil deux cicatrices à son cou, avec des fils de suture visibles, tous en soie d'origine inconnue, avec trois extrémités, dont chacune a été utilisée pour recoudre. Une radiographie révélera une opération chirurgicale surnaturelle et bilatérale de la carotide. À son réveil, Noad n'est plus hémiplégique : elle boit, retrouve l'usage de sa main et remarche miraculeusement. Saint Charbel réapparaît alors et lui fait savoir : "Ne laisse pas les gens ! Je t'ai guérie par la puissance de Dieu pour qu'ils te voient ! Parce que certains se sont éloignés de la prière, de l'Église et du respect des saints. Celui qui veut de moi quelque chose, moi, le père Charbel, je suis toujours présent à l'ermitage. Je te demande de visiter l'ermitage le 22 de chaque mois et de participer à la messe durant toute ta vie". Et tous les 22 du mois, les cicatrices de Noad saignent d'un sang qui n'est pas le sien, avant de se refermer d'elles-mêmes, une fois la journée écoulée.

1994 : une fratrie dont l'aînée a 11 ans est seule à la maison en l'absence de la mère, à l'hôpital avec sa petite fille malade. C'est alors qu'un imam âgé, habillé d'une robe noire, portant une capuche sur la tête et ayant une longue barbe blanche, vient et rassure les enfants : "N'ayez pas peur !". Faute de carburant, la maison n'est pas chauffée. L'homme âgé apporte un bidon vide, remplit le réservoir du chauffage et allume le feu. Il prépare ensuite un plat de riz au lait et aide les enfants à faire leurs devoirs (tous auront 20/20 le lendemain). Après plusieurs heures d'absence, la mère revient. La petite fille lui demande : "Tu n'as pas vu l'imam sortir ?". La mère répond : "Non. Qui est cet imam ?" L'enfant lui explique : "Il nous a cuisiné du riz au lait, a mis le chauffage, nous a donné des cours et m'a répété à plusieurs reprises : N'aie pas peur !". La femme remarque alors la marmite encore chaude et s'exclame : "Louange à Dieu pour tout ce qu'il a fait". Quelques jours plus tard, lors d'une visite chez une amie chrétienne, la petite voit une photo de saint Charbel accrochée au mur et le montre à sa mère en s'écriant : "C'est lui l'imam qui est venu chez nous l'autre soir !".

1995 : Saint Charbel apparaît au Burkina Faso pour rendre service à un jeune homme tombé en panne sèche au milieu de la brousse. En Argentine, un pilote et ses trois compagnons ont à peine décollé que le moteur de l'avion tombe en panne. Munis d'une petite image du Saint, ils l'appellent à l'aide. L'avion s'écrase mais les quatre passagers s'en sortent indemnes. 2005 : une femme d'origine philippine apprend que sa mère au pays est mourante. La famille chez qui elle vit lui propose de rendre visite à saint Charbel à Annaya. Elle prie plus de deux heures auprès du tombeau. A son retour, la jeune femme reçoit un appel de sa mère qui la remercie pour le médecin qu'elle lui a envoyé du Liban. Surprise, elle répond n'avoir envoyé personne, mais sa mère insiste, précisant que le médecin s'est présenté comme étant un médecin du Liban envoyé par sa fille. Elle le décrit habillé d'une longue robe noire avec une longue barbe blanche et indique qu'il est passé vers 13h15. La jeune femme comprend alors que saint Charbel en personne a soigné sa mère au moment même où elle priait sur son tombeau.