Dr Lynda Cramer : "guérir les souvenirs devant les trois grands"

03/02/2025

Dr Lynda Cramer. "J'ai vu mon corps sortir de ma maison sur un brancard (dessin ci-dessous), mais j'étais là et je n'avais aucun lien avec ce corps. (...) C'est alors que les choses sont devenues bizarres, parce que la porte (d'entrée) s'est ouverte. Et à travers la porte, sont rentrés tous ces orbes bleu foncé, et ils planaient, avançaient en même temps. Les orbes se sont approchés de moi, ils savaient donc que j'étais là. C'était comme si ils étaient en train de planer autour de moi et de m'observer. Il était évident qu'ils interagissaient entre eux ou qu'ils étaient connectés, car ils ne rentraient pas en collision entre eux, et je savais qu'ils communiquaient ensemble. Voici un dessin que j'ai fait de l'apparence de ces orbes (ci-dessous). Ils avaient de l'électricité qui sortait d'eux, comme de l'énergie, et au milieu de ce bleu brillant, il y avait un blanc pur. Je n'ai pas eu peur de ces êtres. Ils ne semblaient pas du tout hostiles.

Et puis il y a eu un "boom" et ils sont tous sortis par la porte d'entrée qui s'est refermée. Pourtant, aucun être humain n'était là pour verrouiller la porte d'entrée. Puis, on m'a tapé sur l'épaule. Je suppose qu'il s'agit de cette femme qui est toujours avec moi maintenant. Elle m'a dit que je devais partir et je me suis demandée où. c'est ce que j'appelle "l'étape du brouillard". Ça n'a duré que quelques secondes et tout est devenu noir. J'ai ouvert les yeux et je me suis retrouvé dans un endroit absolument indescriptible. J'étais dans un immense champ recouvert de millions de fleurs colorées. Au loin, d'immenses montagnes se dressaient, beaucoup plus grandes que tout ce qui existe sur terre, dix fois plus grandes que l'Éverest. Autour de moi, il y avait des milliers de personnes. Elles n'étaient pas seulement heureuses, mais rayonnantes, comme si elles émanaient de la joie et de l'énergie de leur propre présence. Chacune d'elles semblaient être dans un état de paix absolue, connectées à l'environnement. En regardant sur le sol, j'ai vu que les fleurs se déplaçaient doucement sur le coté, comme si elles ne voulaient pas que je marche dessus. C'était comme si ces fleurs étaient vivantes, conscientes de ma présence. Les fleurs savaient que j'étais là, et je savais qu'elles le savaient, parce que nous communiquions par l'intermédiaire du tout. Tout était unité. Tout comprenait tout sur tout le reste. Bien que j'avais pas la sensation de poids de mon corps physique, les fleurs me respectaient, comprenant que je me sentais encore dans un corps humain. Les fleurs émettaient une sorte d'énergie lumineuse des bords de leurs pétales (dessin ci-dessous), et leur couleur, je ne pourrais jamais l'expliquer, elles étaient si vibrantes, si différentes de celles que nous voyons ici sur terre. J'ai réalisé qu'ici, dans notre réalité, nous ne voyons qu'une infime fraction du spectre des couleurs. Là, cependant, je pouvais voir des nuances que je n'avais jamais imaginé exister. 

En marchant dans ce champ, une vérité s'est révélée avec clarté : ce que nous pensons, nous le créons. C'était une sagesse profonde, mais dans cet endroit, cela semblait la chose la plus évidente au monde. Si je voulais changer quelque chose en moi, que ce soit mon apparence, mes pensées ou mes sentiments, il suffisait de le vouloir. C'était comme si tout était façonné par l'esprit. Si je voulais avoir les cheveux loirs, longs et lisses, cela se produirait simplement. Tout répondait à la conscience, à la pensée pure, et je savais que c'était le vrai sens de l'être. Si je souhaitais être dans les montagnes, j'y serai instantanément. Si je voulais les escalader, je pouvais commencer l'ascension depuis la base, ressentant l'expérience comme quelque chose de réel et de tangible. C'était une sensation de liberté absolue. Il y avait une mélodie en arrière plan, elle ne venait pas d'un endroit spécifique, mais de l'espace lui-même qui émanait des fleurs, des montagnes, de l'eau et même de moi, qui calmait l'âme. Le plus fascinant était que, si je ne voulais pas écouter cette musique, je pouvais simplement la changer. Je pouvais créer une autre mélodie, comme si j'avais accès à une playlist infinie. (...)

Puis j'ai marché avec la femme devant moi des milliers de kilomètres, à une vitesse de trois à cinq kilomètres à l'heure, et j'ai dû marcher des mois de notre temps terrestre. À un moment donné, je me suis tellement concentrée sur cette femme que je suis devenue elle, et je me suis retournée et j'ai vu Lynda comme une personne différente, et je connaissais toutes les vies qu'elle avait vécues, je connaissais toutes les leçons de vie qu'elle avait apprises, et je connaissais aussi celle qu'elle allait devoir réincarner et apprendre à nouveau. (...). 

Je suis arrivée dans une ville de lumière d'une beauté indescriptible, de proportion gigantesque, avec des bâtiments qui s'élevaient à des milliers de kilomètres dans le ciel. Tout là-bas, les structures étaient faites d'énergie. C'était comme si la matière était vivante, palpitante de lumière. Il n'y avait pas d'ascenseur à l'intérieur, pas que ce soit nécessaire. Ceux qui voulaient monter à d'autres étages pouvaient simplement penser où ils aimeraient être, et en un clin d'oeil, ils y étaient. Pourtant il y avait des escaliers, et j'ai compris qu'ils étaient là pour ceux qui voulaient expérimenter le voyage. Ce lieu respectait le choix et le libre arbitre. Tout était possible, c'est comme si le concept de limitation n'existait pas. L'idée d'effort ou d'impossibilité se dissolvait simplement. C'était un monde où la pensée créait la pensée instantanément. J'ai perdu la notion du temps, c'était comme si chaque moment était éternel, mais aussi éphémère en même temps. Tout dans cet endroit était une expression de plénitude, il n'y avait ni peur ni anxiété, ni aucune sensation de perte. Seule la conscience de ce que nous pensons, nous le sommes. J'ai vécu, observé et interagi tellement que cela me semblait une éternité. Puis j'ai senti cette douce touche sur mon épaule, je me suis retournée instinctivement, mais il n'y avait personne. Pourtant, je savais que c'était toujours cette femme. Sa présence était perceptible d'une manière indescriptible, comme une sensation profonde qui transcendait la vision, c'était comme si elle me guidait à travers la conscience. 

Soudain, je me suis retrouvée à l'entrée d'une cathédrale monumentale. ses tours s'élevaient sur des milliers de mètres, comme des piliers atteignant les Cieux. En traversant les énormes portes en bois, un vaste couloir s'est ouvert devant moi. Sur les cotés, il y avait d'immenses bancs, de dix mètres de long, avec des planches de dix mètres de large et de cent mètres de long, sculptés à partir d'un seul bloc de bois. Le sol semblait être fait de grès doré, mais les briques faisaient vingt mètres carré, des blocs gigantesques de plus de dix-huit mètres d'un seul morceau de grès, chacun soigneusement poli, reflétant la douce lumière qui émanait des vitraux. Ces vitraux étaient incroyablement hauts, s'étendant aussi loin que mes yeux pouvaient atteindre. Ils projetaient des couleurs vives dans tout l'environnement, créant un jeu de lumières qui semblaient danses dans l'air. Je marchais lentement, enchantée par la grandeur de cette architecture vivante. Chaque détail semblait chargé d'un dessin sacré, une expression d'énergie pure. Lorsque je suis arrivée au bout du couloir, tout en haut de la cathédrale, j'ai été accueillie par trois figures imposantes. C'étaient des entités d'énergie pure. Je les appelle "les trois grands". Leur présence irradiait une force indescriptible et leurs énergies coulaient en spirales de gauche à droite et de droite à gauche, donc se déplaçant simultanément dans des directions opposées. C'était comme une danse de lumières qui émanait du sol, remontant vers leurs têtes, comme une cascade inversée d'énergie brillante (voir dessin ci-dessous). Je suis restée debout devant eux, en pyjama, car j'étais encore en pyjama, me sentant petite, mais en même temps accueillie par cette énergie puissante.

Soudain, une boîte est apparue devant moi, de l'intérieur, une lumière intense pulsait, presque comme si elle contenait le flux même de la vie. Je ne sais pas lequel des trois a parlé, mais j'ai clairement entendu le message : "nous ne sommes pas là pour juger". Ces mots ont sonné comme une vérité absolue, raisonnant en moi. Instantanément, j'ai compris ce que je devais faire, ce qui était simple mais profond : ouvrir la boîte, traiter et guérir ses souvenirs. La boîte, qui n'avait aucun fond ni cotés, contenait des souvenirs, toutes les actions et les émotions que j'avais accumulées au cours de mon existence. Il y avait des milliers et des milliers de petits orbes d'énergie ronds qui contenaient des sortes de films de séquences de ma vie, avec un petit écran télé. J'en prenais une à la fois dans ma main (dessin ci-dessous). En affrontant ce qui était à l'intérieur, j'ai été inondée d'une séquence infinie de souvenirs. Chacun d'eux durait entre 45mn et 1h30, selon l'intensité et le poids émotionnel qu'il portait. Il y avait des milliers de souvenirs, plus de 5000 peut-être, et étonnamment, je l'ai traité avec une clarté extraordinaire. Ce n'était ni douloureux, ni chargé d'émotions négatives

Un épisode dont j'aime parler est celui où je suis bébé et je tire la queue du chat de ma grand-mère (dessin ci-dessous). Au départ, je regarde cette scène comme si j'étais une étrangère, voyant la petite fille et le chat interagir. Puis je suis devenue Lynda, j'ai vu ses pensées, j'ai senti son coeur battre, et je pouvais sentir ce qu'elle ressentait, comme si ses pensées étaient les miennes, ses intentions, ses motivations, et même ses pensées sur ce qu'elle allait faire au chat. Quand elle a tiré la queue du chat, il a commencé à miauler et cracher, il était très contrarié, car ça lui faisait mal. Je me suis alors demandé pourquoi j'avais fait cela. J'ai analysé toutes les raisons pour lesquelles je tirais la queue de ce chat. Ensuite, j'ai dû devenir le chat, et me voici maintenant sentant mes quatre pattes. Je pouvais sentir l'équilibre de ma queue, je pouvais sentir mes oreilles et qu'elles se dressent, quand elles entendent un bruit. Je peux entendre les petits lézards sur le sol. Toute ma vision a changé, car je vois maintenant la scène au travers des yeux du chat. Et je vois cet humain, je suis pétrifiée, parce qu'elle tient ma queue. Et quand elle tire sur ma queue, la douleur monte dans mon dos et c'est une douleur atroce. Alors bien sûr, je commence à cracher et je sors mes griffes puis, je suis de nouveau à l'extérieur d cette bulle, et c'est là que les larmes ont coulé, que toutes ces larmes se sont déversées sur le sol. J'ai su alors que ces bancs d'église n'étaient pas pour les témoins, ils n'étaient pas là pour que d'autres personnes me regardent. Ils étaient là pour que je m'assois et que je me dise : "Oh mon Dieu... Qu'est ce que j'ai fait à ce chat..." Lorsque j'ai ressenti la douleur du chat, la douleur était décuplée, comme dans la Bible

Je sanglotais, ma tête dans les mains, en me disant pourquoi j'ai fait du mal. Puis je me suis dit que je n'en savais rien, que je n'étais qu'une enfant, je ne connaissais pas les conséquences de mes actes, je ne savais pas que l'effet domino de nos actions se répercutent sur les autres. Je n'avais pas réalisé que ce chat était un élément essentiel de ce souvenir, que je devais guérir la douleur de ce chat, m'excuser, et me demander pardon pour ce que j'avais fait. Je n'ai pas eu à demander pardon au chat, parce que le chat n'est pas là. La seule personne que je devais juger et à qui je devais pardonner, c'était moi. Et puis, au fur et à mesure que je trouvais ce pardon, et cela m'a pris probablement une demi-heure, 45mn, ce souvenir dans ma main a tout simplement disparu. Il n'existait plus parce qu'il était redevenu de l'énergie pure et qu'il n'était plus valable au paradis. Je savais que je devais me lever, retourner dans cette boîte, prendre un autre orbe, avec un autre souvenir et le guérir également. Ainsi, en parcourant cette boîte, j'ai traité plus de 5000 souvenirs. (...) Certains étaient de bons et beaux souvenirs, comme sourire à un inconnu, et cette gratitude était décuplée. Et j'étais si heureuse... Des larmes ont de nouveau fondu sur mon visage. J'étais tellement excitée parce que j'avais rendu cette personne heureuse. D'autres, je ne voulais pas les traiter... Mais nous devons traiter tous les souvenirs, jusqu'à ce que la boîte soit vide. Guérir ce qui a blessé quelqu'un d'autre ou nous-même, c'est magnifique. Car, lorsque nous pardonnons, nous découvrons que l'amour crée de l'amour. C'était comme si j'étais enfin libérée de chacun d'eux, comprenant leurs leçons et laissant derrière moi toute souffrance qui était encore liée à ces expériences. Là, dans cette cathédrale d'énergie, le temps se repliait sur lui-même. Le processus de guérison fut si transformateur que je suis ressortie de là différente. J'étais renouvelée de l'intérieur. J'estime avoir passé un an et demi à revoir tous mes souvenirs

À la fin de ce processus, j'ai ressenti encore cette touche familière sur mon épaule. Cette fois, j'ai su, sans que personne n'ait eu besoin de le dire, qu'il était temps de partir. En un insta: " tu travailleras comme quelqu'un qui enseigne auc nt, j'ai été transportée dans un espace totalement blanc. Il n'y avait ni murs, ni plafond, ni fenêtres, juste un blanc pur et infini dans toutes les directions. J'ai regardé mes pieds et je les ai vus, mais curieusement, il n'y avait pas de sol. Je flottais, mais avec une étrange sensation de solidité, l'ambiance était sereine, presque éthérée, mais profondément silencieuse. C'est alors que j'ai aperçu une silhouette au loin, quelqu'un marchait lentement dans ma direction. À chaque pas, l'image de cette personne devenait plus nette. Lorsqu'elle est arrivée finalement près de moi, j'ai vu qu'elle avait un visage calme et plein de sagesse. Sans aucune formalité ni hésitation, cette personne m'a dit : "Lynda, tu ne devrai pas être ici, tu dois retourner sur terre, d'où tu viens". Ces mots m'ont beaucoup marqué, comme un ordre doux mais indéniable. Je me suis dit "mais comment retourner en arrière, si je ne sais pas où je suis (dans ce blanc omniprésent, voir dessin ci-dessous). La femme était alors très frustrée de ce que je lui demandais. Elle a insisté en tapant sa robe de sa main, mais je lui ai demandé encore "pourquoi". 

Alors elle m'a dit qu'elle était mon arrière arrière grand-mère, elle s'appelait Karina, puis elle s'est lancée dans une très longue conversation où elle m'a raconté qui elle était, où elle était née, où elle vivait, son mari, sa maison... Ses conversations diraient des mois, puis elle a commencé à parler de ma vie en 2001 et que je devais retourner sur la terre avant le mois de septembre. Or je vivais en mai en Caroline du nord, et les attentats du 11 septembre ont eu lieu. Cet évènement s'explique en partie par le fait que mon mari à l'époque ne voulait pas m'aider dans mon immigration. Après le 11 septembre, ils ont rassemblé tous les immigrants illégaux, et j'aurais fait partie de ces gens si j'étais restée là-bas. Elle m'a donc dit que je devais rentrer en Australie avant le mois de septembre. Je suis donc rentrée en Australie au mois de juin. Elle m'a dit que j'allais commencer à travailler avec les forces de l'ordre, ceux qui sont en position d'autorité et qui jugent les autres. Elle m'a dit que j'y travaillerai pendant dix ans, et j'ai en effet travaillé en tant qu'agent administratif pour la police de 2002 à 2012, et que j'aurais besoin de deux ans sans travailler pour faire face au stress émotionnel que je subirai à cause de ce travail. Et en effet, j'ai souffert d'un syndrome de stress post-traumatique à cause de ce que j'ai vu dans mon travail. Puis elle m'a dit "tu travailleras comme quelqu'un qui enseigne aux autres, comment prendre soin des autres. Tu seras la première à intervenir quand quelqu'un sera blessé". Pour moi, c'est formatrice en premiers soins. Je n'ai pas postulé pour ce poste, on me l'a proposé, et je l'ai été de 2015 à 2017, comme elle l'a dit, pendant deux ans. Puis elle m'a parlé de ma vie future : "tu dois te souvenir de cette date, le jour où tu concevras ta fille, et ta fille sera comme ceci". Je me suis donc toujours souvenue de cette date en 2005, et ma fille a maintenant 16 ans. 

Elle me disait aussi que "je devais apprendre mes leçons durant ces années". Je pense en particulier à ces années dans la police, car elle doit faire respecter les règles et juge une personne en fonction de ce qu'elle fait ce jour là. Ceci dit, j'ai appris à ne pas juger une personne sur ce qu'elle fait un jour, mais à juger son coeur et son âme. Et cette perspective de ce que j'ai vu dans ma revue de vie, où de bonnes choses arrivent à de mauvaises personnes, mais aussi où de mauvaises choses arrivent à de bonnes personnes, c'est pourquoi j'éduque les gens maintenant sur le plan psychique. Je me suis réveillée quasiment avec tous les capacités psychiques, je suis une grande intuitive, je suis une empathe, je fais des rêves prémonitoires, j'ai tiré les nombres du loto six fois. Vous savez, vous vous réveillez au beau milieu de la nuit pour essayer de trouver un stylo et noter les numéros qui vous viennent à l'esprit. Ce n'est qu'il y a environ un an, que j'ai rencontrée la dame qui m'a apparemment accompagnée toute ma vie et m'a aidée, et ce n'est qu'une semaine plus tard que j'ai commencé à voir des guides spirituels. Je suis tellement bénie maintenant de pouvoir donner de la joie, de la compréhension, et surtout de la confiance aux gens. 

Nous sommes tellement liés à tous les autres... J'aime écouter les expériences des autres, rechercher les similitudes, les points communs, les preuves qui confirment que tout ça est réel. Et je les partage avec les autres. La vie devient de plus en plus dure chaque jour, et plus nous plaçons d'espoir dans nos anges, nos divinités, nos maîtres ascensionnés, nos guides spirituels, nos anges gardiens... quelque soit le nom que vous leur donnez. Mais tant que nous savons qu'ils sont là, ils sont constamment autour de nous. Plus nous nous donnons à l'être de notre âme, plus nous alignons notre énergie, notre fréquence, notre devise à travers notre conscience, pour être dans ce plan d'énergie émotionnel, l'Amour du Ciel, nous pouvons créer cela sur terre. Nous pouvons être angélique, et tout commence en nous. C'est mon but aujourd'hui : enseigner aux gens comment être le meilleur d'eux-mêmes et surmonter nos problèmes de santé mentale qui abaissent nos vibrations. Et finalement, être la meilleure version de cette vie, en incorporant les leçons de vie que nous avons apprises en cours de route. Ainsi, lorsque nous retournons au paradis, et que nous nous tenons devant les "trois grands" en train de traiter un grand nombre de souvenirs, c'est une belle expérience. 

Tout ce dont je me souviens ensuite, c'est d'avoir ouvert les yeux à l'hôpital. (...) Je savais que j'étais revenue avec un but plus grand, la valeur de la vie, des petites choses que nous laissons souvent inaperçues (...) mais qui maintenant pour moi avaient une signification profonde. J'ai réalisé à quel point être en vie était un cadeau, et j'étais déterminée à honorer cela. Lorsque je suis finalement arrivée à la maison, j'ai été émue en franchissant la porte d'entrée : cet endroit, qui n'était auparavant qu'une partie de ma routine, semblait maintenant être un sanctuaire. Cette paix que j'ai ressentie lors de mon voyage était toujours avec moi. Mais maintenant je savais : le vrai miracle est de vivre chaque instant avec présence, gratitude et objectif. Aujourd'hui, je veux partager ce message avec le plus de monde possible, car il y a toujours un chemin de retour à la lumière. L'amour de Dieu est beaucoup plus grand que nous ne l'imaginons. Partageons, croyons en nous, et nous y arriverons."

"J'ai vu mon corps sortir de ma maison sur un brancard"

Les orbes : "au milieu de ce bleu brillant, il y avait un blanc pur"

"Les fleurs émettaient une sorte d'énergie lumineuse des bords de leurs pétales"

"Les trois grands. Leur présence irradiait une force indescriptible et leurs énergies coulaient en spirales de gauche à droite et de droite à gauche, donc se déplaçant simultanément dans des directions opposées. C'était comme une danse de lumières qui émanait du sol, remontant vers leurs têtes, comme une cascade inversée d'énergie brillante."

"Les petits orbes d'énergie ronds contenaient des sortes de films de séquences de ma vie. (...) Un épisode dont j'aime parler est celui où je suis bébé et je tire la queue du chat de ma grand-mère."

"Comment retourner en arrière, si je ne sais pas où je suis (dans ce blanc omniprésent)"

"Plus nous nous donnons à l'être de notre âme, plus nous alignons notre énergie, notre fréquence, notre devise à travers notre conscience, pour être dans ce plan d'énergie émotionnel, l'Amour du Ciel, nous pouvons créer cela sur terre. Nous pouvons être angélique, et tout commence en nous. C'est mon but aujourd'hui : enseigner aux gens comment être le meilleur d'eux-mêmes et surmonter nos problèmes de santé mentale qui abaissent nos vibrations. Et finalement, être la meilleure version de cette vie, en incorporant les leçons de vie que nous avons apprises en cours de route. Ainsi, lorsque nous retournons au paradis, et que nous nous tenons devant les "trois grands" en train de traiter un grand nombre de souvenirs, c'est une belle expérience."

"Les trois grands. Leur présence irradiait une force indescriptible et leurs énergies coulaient en spirales de gauche à droite et de droite à gauche, donc se déplaçant simultanément dans des directions opposées." L'amour divin au coeur du huit de l'infini (trois coeurs).

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